Le fondeur et serrurier suisse Mega Gossau AG a réuni toutes les conditions pour démarrer sa conquête européenne. En devenant son partenaire, CIC Capital SA (filiale de Crédit Mutuel Equity Suisse) vise à accélérer un projet solide.

Mega Gossau AG (120 salariés) opère dans les domaines de la fonderie et de la serrurerie. Ce spécialiste du moulage de métal sous pression est leader des solutions personnalisées et des produits standardisés – des poignées pour portes et fenêtres – dont la fabrication est très automatisée. « Mega Gossau AG innove tout en veillant à maintenir l’équilibre entre ses deux activités aux ressorts différents », apprécie Thomas Bitzi, Directeur d’investissement chez CIC Capital. Active en Suisse, en Allemagne et en Autriche, l’entreprise fidélise ses clients grâce à son écoute, à ses innovations et à sa flexibilité.

Précieuse indépendance

Reprise en 2013 par MBO, Mega Gossau AG a fortement amélioré ses performances. « Sur ces bases solides, elle pouvait prétendre à exploiter encore mieux le potentiel de son marché et s’engage désormais dans une nouvelle étape de développement, cette fois-ci à dominante internationale », précise Thomas Bitzi. Pour concrétiser cette stratégie, Mega Gossau AG a choisi d’ouvrir son capital et accueille CIC Capital comme nouveau partenaire. « Les dirigeants ont apprécié que nous proposions un investissement minoritaire, essentiel à leurs yeux pour garantir l’indépendance de l’entreprise », souligne Thomas Bitzi. « Ils ont également été sensibles à notre engagement à long terme, à notre expertise, à notre participation à la réflexion stratégique et à nos réseaux internationaux ».

Sensibles à notre expertise, à nos réseaux internationaux

Ainsi, les pays prioritaires pour ce développement étant naturellement de langues allemande et française, CIC Capital ouvre à Mega Gossau AG les réseaux CIC en France et en Allemagne. Le moment venu, CIC Capital saura également partager son savoir-faire en acquisitions pour proposer des cibles ou évaluer celles pressenties par le management. « Il pourrait s’agir de sociétés permettant d’élargir l’offre, de doter les ouvertures de portes des technologies digitales les plus disruptives... », ajoute Thomas Bitzi, confiant dans la dynamique présente... et à venir.

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